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Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale.
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MessageSujet: Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. EmptyLun 13 Fév - 1:28

 
Dio Asimov Bogdanovitch


Âge : 23 berges
Race : Humain de merde.
Sexe : Très très très ... Homme.

Groupe : Civils
Rang : Parrain d'une putain de Mafia.
Niveau : 65

Surnom : Le balafré
Organisation : La " Wild Hunt "
Prime/Honneur : A vous de voir.

Haki : Fluide de l'armement. ( 15 pts )
Fruit du Démon : Gura Gura no Mi. ( 30 pts )
Compétence(s) : Combattant. ( 20 pts )
Arme(s) : Mon corps est une arme.

Physique

Taille : 170 centimètres
Poids : 70 kilogrammes
Couleur de cheveux : Blond
Couleur des yeux : Bleu terne

Signes distinctifs : Une imposante stigmate entame le côté droit de mon faciès, franchissant jusqu'au bas de mon torse. Da, c'est une vieille blessure de guerre dont la douleur ne s'est toujours pas estompée, une belle merde.


 
Caractère

 

L'Avarice : Da, j'vais pas mentir, j'aime l'argent. J'm'en suis rendu compte très tard, mais dans ce putain de monde, si t'as pas de thune tu n'es rien d'autre qu'un vulgaire pion sur un échiquier. J'suis un connard avare et j'm'en cache pas. D'ailleurs c'est une caractéristique tirée de mon ambition principale ; Détrôner l'ordre mondial, la dictature des Dragons Céleste. Et pour ce faire, j'vais avoir besoin d'un max de pognon et de pouvoir, c'est pas avec des belles paroles niaises d'enculés que le monde changera un jour.

La Colère : J'ai le sang chaud, et si rien ne se passe comme je l'avais prévu, j'ai la fâcheuse tendance à me foutre sacrément en rogne. Dans cet état de transe, je cogne deux fois plutôt qu'une, et ensuite je réfléchis. Quitte à me foutre les plus gros cadors des mers à dos et à m'attirer les pires emmerdes. Si je prend l'initiative d'engager la moindre altercation, rien ne me fera changer d'avis, car mon instinct est sauvage, ma colère indomptable.

L'Orgueil
: Forcément, l'orgueil rejoint les deux points cités ci-dessus. J'tiens pas à être le chien de qui qu'ce soit. Et jamais je ne capitulerai, même si la mort frappe à ma porte, je l'enverrai se faire foutre. Au sein de notre société actuelle, les puissants ont la suprématie tandis que les faibles suivent, s'écrasent et en paient les frais.

La Gourmandise : J'me prive jamais d'un bon verre de vodka, enfin le verre c'est qu'un amuse gueule, ensuite j'me fais plus chier et j'tape carrément dans la bouteille, puis une suivante et ainsi de suite. L'alcool, c'est le seul moyen ( autre que la baston ) qu'j'ai trouvé pour décompresser. Rien d'mieux pour noyer ma rancune passée, mes erreurs indélébiles et le stress accumulé au fil des années.

La Luxure : La plus grande faiblesse d'un homme, mais bon, j'aime la compagnie de charmantes demoiselles, j'y peux rien bordel ! J'peux pas me résoudre à refuser quoi qu'ce soit à ces belles créatures. Du moins, c'est c'que j'dis, pourtant j'vais te l'avouer, j'ai jamais accompli l'acte, si tu vois c'que j'veux dire. Va savoir pourquoi, y'a toujours un truc qui foire, qui part littéralement en couilles. Ça, c'est mon secret honteux inavoué, et s'il venait à se répandre, ma réputation en prendrait un sacré coup.

La Familiarité : J'te parle pas là du sentiment à la con qui t'donnes envie de gerber des arcs-en-ciel, nan loin de là. Toutefois, au sein de ma Mafia, les hommes et femmes qui m'accompagnent représentent pour moi une véritable famille, une famille de connards qui se foutent sur la gueule à longueur de journée, certes. Mais j'vais t'dire, c'est mon plus gros point faible, si j'devais me sacrifier pour sauver la gueule de mes potes, j'hésiterai pas une seule seconde. Parc'qu'après tout, c'est moi et mes putains d'ambitions à la cons qui les auraient embarqués dans ma merde, ainsi il en va de ma responsabilité.

La vulgarité : Depuis l'temps j'pense que t'as remarqué, la vulgarité, c'est mon vocabulaire courant. Da, tu pourrais me dire que c'est un comportement immature, et t'aurai bien raison sur ce coup là. Mais en toute franchise, " diantre " le bon parler de ces salopes des quartiers riche, moi, j'suis partisan du moindre juron. C'est un peu comme si, à chaque putain prononcé, ma rancune, ma colère et ma frustration entraient simultanément en ébullition et se résumaient en un seul mot, clair, concis, trash.



La Guerre ne meurt jamais

La Vodka, c'est un peu c'qui résume le mieux la vie, enfin la mienne tout du moins. Ouais, c'est cette saloperie qui m'a accompagnée tout l'long d'mon putain de séjour à l'armée Marine, et qui continue toujours de m'épauler d'ailleurs. Ah ouais en effet, j'ai parlé de mon " séjour " à l'armée. Da, c'était pas qu'un simple séjour à la con en réalité. A dire vrai, j'ai bien roulé ma bosse dans le métier, dix putains d'années au service de la marine, pour être plus exact. Pourquoi m'être enrôlé dans un tel boxon ? Va savoir, à l'époque, j'étais jeune et surtout con, c'est l’appât du prestige qui finalement, m'a décidé à m'engager. J'me souviens encore d'ce jour là, mon mentor, le Colonel Ragg Vargas, ce vieux briscard, menait une campagne de recrutement à Loguetown, sur East Blue. Malgré mon manque flagrant de discipline, ma sale gueule de pétasse blonde androgyne et mon charisme inexistant, j'ai été accepté au sein de la Marine. Pour vous dire, à quel point ces bâtards devaient être en rade de chair à canon. Mon taux de survie sur le terrain ? J'l'ai jamais estimé à plus de 10% et pourtant j'ai survécu à de nombreuses missions périlleuse par pur chance j'imagine, alors même que j'étais exposé au front. Un peu comme cette fois-là, ce jour où ma vie a pris un tournant décisif ...

Par le biais d'espions, nous avions localisés une base révolutionnaire située secrètement aux profondeurs de Little Garden, une île jurassique du Paradis. Sous le commandement du Lieutenant Ragg Jack, meneur d'hommes sans pareil, nous avions étés envoyés en expédition sur l'île, afin de débusquer ladite tanière des connards de la révolution. A l'époque, je n'étais qu'un avorton fraîchement recruté, incapable de soulever plus de 40 kilos au développé couché. Et pour dire vrai, c'était ma toute première mission d'assaut. Le risque était réel, j'aurais pu claquer à tout moment, n'importe comment, et le pire, c'est que personne ne se serait jamais souvenu du petit gringalet de service mort dans sa chiasse. Notre plan d'attaque était simple, fureter les environs afin d'éviter de nous faire remarquer par l'opposant, se rendre à proximité de leur campement, qui une fois repéré, serait bombardé de Napalm à foison. Enfin c'était l'idée d'origine. La faune environnante de l'île représentait une véritable menace pour notre escouade, engager l'affrontement contre ces créatures aurait compromis notre objectif. De fait, nous jonchions le sol, rampants telles de vulgaires limaces, une posture nous obstruant grandement la vue. Ce que nos supérieurs avaient omis de nous transmettre, hors la faune d'une dangerosité extrême, c'était ce putain de volcan qui entre en éruption toutes les heures. Et le détail à ne pas négliger, c'est qu'on venait de faire escale sur Little Garden il y avait à peu-près une heure. L'ironie du destin, c'était le moment où cette saleté de montage volcanique allait péter, et nous, notre escouade, le délire c'est qu'on était juste au pied de cette saloperie.

Dans un élan de panique, alors que le sol s'ébranlait et qu'une gerbe magmatique commençait à se répandre en haut du pic montagneux, les soldats de notre divisions commençait peu à peu, terrorisés, par s'enfuir lâchement la queue entre les jambes de cet enfer naissant, manœuvrant ainsi une dispersion totale des troupes. Malgré les efforts vains du Lieutenant Ragg Jack, s'évertuant tant bien que mal pour garder le contrôle de la situation. Même si au fond de son regard, il était aisé d'y décrypter une inquiétude épouvantable. Dans tout ce ramdam, nous avions tous oubliés, le Lieutenant y compris, que nous n'étions pas seuls, car en effet, si pour l'heure le volcan représentait la menace principale, les carnivores de cette forêt s'en donnerait à cœur joie de participer à un festin sanglant, au sein de cette atmosphère malaisante.

Enfin, finalement, j'en suis peu fier, mais moi aussi, à ce moment là j'ai couru pour ma vie, laissant derrière moi nombre de mes camarades, mais aussi le Lieutenant qui lui, n'avait jamais songé abandonner la mission d'une telle façon si répugnante qu'est la fuite. Effrayé, en pleine ruée, je me suis cependant retourné à la vue du Lieutenant, le faciès vide d'expression, le crâne à moitié arraché, les membres déchiquetés, son corps baignant dans une marre de sang encerclé d'une myriades de cadavres tous autant méconnaissable les-uns que les autres. Mais surtout je n'avais pas remarqué, le rocher flamboyant éjecté tout droit en ma direction, m'écrasant brutalement le côté droit du corps et qui, en plus de réduire mes os en bouillis, aura eu pour effet secondaire de me calciner la peau. A ce moment là, j'ai vu ma vie juvénile défiler sous mes yeux, et en rassemblant mes dernières forces, j'ai saisi le Den Den Mushi se situant dans l'une de mes poche afin d'avertir le QG de la Marine, susurrant ces quelques mots " Asimov au rapport ... Nous avons ... Échoués ... Il ne doit ... Pas rester ... Beaucoup de ... Su ... Survivants, s'il vous ... plaît, venez-nous ... " avant de tomber dans le coma, laissé pour mort.

Peu de temps plus tard, j'me suis réveillé dans un lit d'hosto, à peine capable de faire le moindre mouvement. Étonnamment, j'étais toujours de ce monde, comment j'me suis démerdé, va savoir, c'est peut-être mon entêtement à la con, j'suis un gars coriace dur à faire crever. Une chose est sûre, grâce à mon appel une équipe de secourisme s'est sorti les doigts du cul pour nous venir en aide, ils m'ont retrouvé aux portes de la mort sous des décombres, ainsi que deux autres de mes compatriotes. L'un aura été amputé des deux jambes, l'autre aura complètement perdu sa santé mentale, devenu complètement hystérique. Trois survivants sur une centaines, un bilan catastrophique surtout que peu de temps après, le directeur du QG nous a rapporté que les informations transmises à la division étaient entièrement erronées. La dure réalité, c'est que sur cette putain d'île, il n'y avait rien d'autre que la mort, le campement révolutionnaire ne demeurait qu'un simple leurre.

Au final j'm'en suis plutôt bien tiré et quelques années plus tard, j'ai repris du service, le corps intact, mis à part cette immonde balafre douloureuse. Cette première mission m'aura beaucoup fait perdre, mais avec du recul, j'me dis qu'c'est un mal pour un bien, j'avais acquis une meilleure expérience du terrain réel et m'était radicalement endurcis. Mes efforts acharnés afin de venger la mort inutile de mon escouade m'ont conduits à grimper les échelons suite à de nombreuses péripéties et luttes contre la révolution rudement menées. Néanmoins, la mort subsistait et a toujours continuée de rôder autour de moi, fauchant à tour de rôle mes amis, un cercle vicieux qui n'aura fait que se répéter inlassablement. Mais je n'ai jamais perdu la face, j'ai persévéré jusqu'à acquérir le titre de Vice-Amiral, sept ans précédant la catastrophe sur Little Garden. Ma réputation au sein de la Marine était forgée et mon importance quadruplé.

C'est sur l'Archipel Sabaody lors d'une mission visant à escorter un Dragon Céleste que j'me suis rendu compte où j'avais foutu les pieds. Ce bâtard, en plus de se payer le luxe d'acheter des esclaves, les rouaient de coups violents à longueur de journée, des hommes, des femmes, des enfants, répugnant. J'avais en face de moi, ce que l'on appelle au sein de la Marine, un descendant des fondateurs de ce Monde, moi, je ne voyais qu'un monstre. Alors c'était donc ça, les règles qui nous régissent ? Je ne m'étais jamais rendu compte, que le marché d'esclaves légalement autorisés au sein de certains pays, ne contenait pas uniquement des criminels comme l'on avait voulu me faire croire, ils y troquaient également ... Des innocents. Et ce, au bon vouloir de ces enculés de bourgeois salement engraissés. C'est une chose qui ne m'a traversé l'esprit qu'à ce moment précis : " Comment peut-on autoriser cela et fermer les yeux tandis que l'on prône être la justice ?".

Sur le coup, j'ai peut-être été con, mais alors qu'il était sur le point d'achever de fatigue l'un de ses esclaves. Inondé d'une rage folle, je lui ai décroché une bastos renforcée par les effets de mon fruit, si puissante qu'il en aura perdu la vie sans avoir eu le temps de s'en apercevoir, envoyant son corps inerte valdinguer à plusieurs mètres, s'écrasant contre la paroi d'un bâtiment du coin, son faciès littéralement éclaté, s'immergeait dans son immonde sang royal. Je n'ai en aucun cas ressenti la moindre once de pitié à son égard, au contraire, un sentiment de soulagement m'imprégnait, comme si, en un seul coup de poing, je venais de libérer toute cette rancune accumulée en sept ans. Evidemment, j'ai pas fais long feu sur Sabaody puisque porter préjudice à un Dragon Céleste de quelque manière que ce soit, provoque l'avènement immédiat d'un Amiral. Et en toute franchise j'tenais vraiment pas à me frotter à l'un d'entre eux.

Une année de cavale s'est déroulée, j'ai ainsi déserté la Marine bien au courant de mon insubordination et de mon crime ignoble à l'échelle du gouvernement mondial. Depuis, j'ai pas chômé, il y a peu, j'ai fondé une organisation criminelle connue sous le nom de la " Wild Hunt ". Bien décidé à mener une vendetta contre le monde à ma manière. Les Dragons Céleste ? Le gouvernement ? La Marine ? La Révolution ? Les pirates ? Eux, ils ne m’effraient pas, de mes propres mains s'il le faut, je changerai cette dictature quitte à en crever s'il le faut. Car il y a bien une chose que j'ai appris à la Marine, c'est que la guerre ... La guerre ne meurt jamais.


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MessageSujet: Re: Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. EmptyJeu 23 Fév - 12:38
Yo ! Ma présentation est finalement achevée ! Merci d'avance à celui ou celle qui traitera ma fiche.
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MessageSujet: Re: Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. EmptyJeu 23 Fév - 22:17
Oy !

J'ai trouver astucieux ta façon de fragmenter le caractère de ton personnage, ainsi que le déroulement de ton histoire qui est bien ficelée, même si j'aurais bien voulue découvrir comment il a obtenu son fruit du démon, mais ce n'est pas primordiale.

Ainsi, ton haki, ton FDD et ton niveau te sont accordés, mais il faudrait que tu répartisse tes points dans tes compétences.

Pour ce qui est de la prime, avec une trahison contre le gouvernement mondiale et la marine, le meurtre d'un dragon céleste et une activité illégale à l'heure actuelle, un petit 850 000 000 ne serait pas de trop, qu'en dis-tu ?

Sinon, tu es validé !
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MessageSujet: Re: Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. Dio Asimov Bogdanovitch, les prémices d'une guerre totale. Empty
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